Infertilité: la présence d’un HPV n’augmente pas le risque d’échec d’une PMA

EAU 2019: une balade hors des sentiers battus

La présence du papillomavirus humain (HPV) a été associée dans de nombreuses études à un risque d’altérations du spermogramme, d’avortements spontanés, de naissances avant terme et à une réduction du taux de grossesse chez les couples bénéficiant d’une technique de procréation...

Vous souhaitez continuer à lire cet article ?

L'accès à la totalité de l'article est réservé aux professionnels de la santé.

Si vous êtes un professionnel de la santé vous devez vous connecter ou vous inscrire gratuitement sur notre site pour accéder à la totalité de notre contenu.
Si vous êtes journaliste ou si vous souhaitez nous informer écrivez-nous à redaction@rmnet.be.