L’utilisation des tests opportunistes de dépistage de l’antigène prostatique spécifique (prostate-specific antigen, PSA) varie considérablement entre les médecins généralistes et les prestataires de soins primaires en raison des différentes directives, de la pression exercée par les patients, d’un éventuel manque de temps, de l’opinion personnelle et des préférences. Lorsque le sujet du test PSA pour la détection précoce du cancer de la prostate est abordé, de nombreux médecins généralistes se sentent hésitants.
L’intelligence artificielle est devenue nécessaire pour l’analyse d’ensembles de données volumineux, tels que ceux générés en oncologie. Son utilité est évaluée dans le domaine du diagnostic, du pronostic et des options thérapeutiques des cancers. Pour le moment, son intégration dans la pratique quotidienne est limitée, mais dans un avenir proche, nous y ferons appel de plus en plus souvent pour la prise en charge clinique des patients.
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